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Twittering Machines sur le Mola-Mola Kula

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Twittering Machines

18/01/2023

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If it isn’t painfully clear, I love the Mola Mola Kula Integrated Amplifier

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<h3>Quand il s’agit d’achats plaisir, je veux tout.</h3>
<p>La HiFi est, avec un certain nombre d’autres choses, un achat plaisir dans mon livre. Sans culpabilit&eacute; attach&eacute;e. Nourrir notre esprit avec de la musique en tenant compte de la qualit&eacute; de reproduction rel&egrave;ve &eacute;galement de la sant&eacute; mentale, pour moi, et j’accorde aussi de l’importance &agrave; l’apparence des choses. Dans mon monde id&eacute;al, un &eacute;quipement HiFi n’offrira pas seulement le genre de performance qui transporte la musique dans la grange et me fait oublier les pr&eacute;occupations du jour, mais il rendra aussi mes yeux heureux quand ils seront ouverts assez longtemps pour le regarder. Plaisir dans la forme et la fonction.</p>
<h3>Un amplificateur int&eacute;gr&eacute; exceptionnel</h3>
<p>J’ai chant&eacute; les louanges des amplificateurs int&eacute;gr&eacute;s pendant des ann&eacute;es, et r&eacute;cemment m&ecirc;me des amplificateurs int&eacute;gr&eacute;s avec streaming, car une partie de moi aime la simplicit&eacute;. Ajoutez un &eacute;tage phono qui n’est pas une pens&eacute;e apr&egrave;s coup, et je deviens faible dans les genoux. Vous m’avez eu avec les <strong>courbes EQ</strong>. Le Mola Mola Kula est un amplificateur int&eacute;gr&eacute; tout-en-un, &agrave; mon avis, car il d&eacute;livre une qualit&eacute; audio exceptionnelle depuis ses entr&eacute;es ligne, depuis son DAC de streaming optionnel, et depuis l’&eacute;tage phono optionnel. Et il emballe tout ce plaisir musical dans une vague gel&eacute;e zen de beaut&eacute; sculpt&eacute;e minimaliste. Sans &eacute;clat. Le contr&ocirc;le de volume centr&eacute; se d&eacute;place avec la certitude m&eacute;canique d’un cadran de s&eacute;curit&eacute; avec les clics associ&eacute;s, l’aluminium sabl&eacute; &laquo; vague &raquo; transforme la lumi&egrave;re en une douce lueur, tandis que les panneaux lat&eacute;raux noirs semblent maintenir cette vague fig&eacute;e dans le temps. Six LEDs blanches, trois de chaque c&ocirc;t&eacute; du contr&ocirc;le de volume, indiquent l’entr&eacute;e active et compl&egrave;tent le tableau visuel. Une jolie t&eacute;l&eacute;commande en aluminium de la taille d’un abaisse-langue est incluse. Un total de 3 entr&eacute;es &eacute;quilibr&eacute;es et 3 entr&eacute;es non &eacute;quilibr&eacute;es se trouvent &agrave; l’arri&egrave;re, accompagn&eacute;es de 3 interrupteurs &agrave; bascule pour s&eacute;lectionner entre XLR et RCA, ainsi qu’une seule paire de bornes de haut-parleur. L’unit&eacute; de revue est venue enti&egrave;rement charg&eacute;e, vous pouvez donc &eacute;galement voir le module DAC, bas&eacute; sur le c&eacute;l&egrave;bre DAC Tambaqui de la soci&eacute;t&eacute;, &agrave; gauche avec ses entr&eacute;es AES, USB, Toslink, et Ethernet. La carte phono est cach&eacute;e &agrave; l’int&eacute;rieur et peut &ecirc;tre configur&eacute;e pour faire partie de n’importe quelle entr&eacute;e, ou de toutes, qui peuvent &eacute;galement &ecirc;tre r&eacute;gl&eacute;es, via l’application Mola Mola pour les appareils iOS et Android, pour fonctionner comme des entr&eacute;es ligne ou directes, cette derni&egrave;re contournant le contr&ocirc;le de volume du Kula pour &ecirc;tre utilis&eacute;e avec des sources qui ont leur propre. Si vous d&eacute;cidez que vous pr&eacute;f&eacute;rez les choses de cette mani&egrave;re. J’ai charg&eacute; l’application Mola Mola sur mon iPhone et mon iPad, j’ai tendance &agrave; utiliser les deux, et j’ai tout mis en place et en marche en quelques minutes. J’ai opt&eacute; pour l’attribution d’entr&eacute;e par d&eacute;faut pour le DAC et ai r&eacute;gl&eacute; l’&eacute;tage phono sur le Pr&eacute;r&eacute;glage 3, un chiffre porte-bonheur, et ai ajust&eacute; la r&eacute;sistance de charge, la capacitance, le gain (sensibilit&eacute;), etc. pour correspondre &agrave; la cartouche Ortofon 2M Black MM mont&eacute;e sur ma platine Michell Gyro SE. Juste pour le plaisir, j’ai aper&ccedil;u la longue liste des courbes EQ et r&ecirc;v&eacute; du jour o&ugrave; j’en aurais r&eacute;ellement besoin, quelque part dans un avenir lointain o&ugrave; je m’assois &agrave; c&ocirc;t&eacute; d’un feu et joue des disques mono de ma collection infinie, comme un service de streaming captur&eacute; dans du shellac et du vinyle.</p>
<h3>Fonctionnalit&eacute;s suppl&eacute;mentaires et r&eacute;glages</h3>
<p>Le Kula a un certain nombre de fonctionnalit&eacute;s et de r&eacute;glages suppl&eacute;mentaires accessibles via l’application, y compris un offset de volume pour chaque entr&eacute;e, Mono, et inversion de phase, et je sugg&egrave;re de consulter longuement le manuel du Kula pour les d&eacute;tails complets. J’ai utilis&eacute; Roon pour contr&ocirc;ler la lecture pendant toute la dur&eacute;e de la p&eacute;riode de r&eacute;vision, ce qui signifie &eacute;galement que j’ai utilis&eacute; l’entr&eacute;e Ethernet du DAC Kula. Les DeVore Fidelity O/96 se sont occup&eacute;s de la conversion finale pour amener la musique dans la grange pendant la majeure partie du temps de r&eacute;vision. Le c&acirc;blage consistait en un c&acirc;ble Ethernet Diamond d’AudioQuest, des c&acirc;bles de haut-parleur Robin Hood, et un c&acirc;ble d’alimentation AC haute capacit&eacute; Thunder branch&eacute; dans le conditionneur d’alimentation AQ Niagara 3000. Les c&acirc;bles phono de la platine Michell Gyro SE sont c&acirc;bl&eacute;s en dur. Avant d’ins&eacute;rer le Mola Mola Kula dans mon syst&egrave;me, j’&eacute;coutais mon amplificateur int&eacute;gr&eacute; Leben CS600 avec un quatuor de KT77 Genalex Gold Lion poussant 32 Watts de puissance. Et je vais admettre qu’une partie de moi, bien que ce ne soit pas une partie tr&egrave;s rationnelle, s’attendait &agrave; une l&eacute;g&egrave;re d&eacute;ception. Le Leben a &eacute;t&eacute; l’un de mes amplificateurs int&eacute;gr&eacute;s pr&eacute;f&eacute;r&eacute;s pendant pr&egrave;s d’une d&eacute;cennie et on pourrait dire que nous sommes devenus tr&egrave;s confortables, ayant v&eacute;cu ensemble pendant de nombreuses ann&eacute;es. Parmi tant d’autres choses, le Leben impr&egrave;gne la musique d’une &eacute;tincelle de vie que je trouve enti&egrave;rement s&eacute;duisante, associ&eacute;e &agrave; un gros corps, une puissance sans effort, et un contr&ocirc;le solide comme un roc. Vous pouvez donc imaginer ma surprise lorsque le Mola Mola Kula et sa puissance de Classe D sont intervenus et ont sonn&eacute; comme un fr&egrave;re. Comme s’ils &eacute;taient n&eacute;s de la m&ecirc;me lign&eacute;e familiale ! Sacre bleu ! Mon Dieu !</p>
<h3>Une exp&eacute;rience d’&eacute;coute immersive</h3>
<p>L’album de debut de Maria BC, _Hyaline_, est, entre autres choses, atmosph&eacute;rique avec un ‘spheric’ majuscule. Au moment o&ugrave; nous nous engageons dans le deuxi&egrave;me morceau &laquo; April &raquo;, la guitare &eacute;lectrique et les voix superpos&eacute;es existent dans un espace cavernicole avec des sons d&eacute;finissant la distance et la forme comme des chauves-souris &eacute;valuant une nouvelle grotte. Avec le Mola Mola Kula fournissant la conversion D &agrave; A et la puissance, les DeVore r&eacute;sonnaient avec une clart&eacute; et un poids &eacute;poustouflants, transformant les ondes sonores en l’incarnation physique de la voix, de la guitare, et de la caverne, avec le genre de r&eacute;solution qui attire l’attention sur les d&eacute;tails les plus fins de la cr&eacute;ation musicale plut&ocirc;t que sur les points les plus fins du son et de l’effet. Il y a un certain nombre d’&eacute;l&eacute;ments sur _Hyaline_ qui ne sont pas produits par un instrument ou une voix et ils ajoutent tous au myst&egrave;re et &agrave; l’atmosph&egrave;re de _Hyaline_, et le Kula a reproduit chaque son, bosse, grattement, et cliquetis avec une pr&eacute;cision, une &eacute;chelle, et une place parfaites. Je suis venu &agrave; attribuer ce genre de clart&eacute; qui d&eacute;finit le plus petit d&eacute;tail associ&eacute; &agrave; un choc dynamique et une puissance macro &agrave; un composant tr&egrave;s silencieux, celui qui ne noie pas les d&eacute;tails dans la boue du bruit auto-g&eacute;n&eacute;r&eacute;. Ce genre de clart&eacute; ne ressemble en rien &agrave; l’agressivit&eacute; artificielle que certains replay num&eacute;riques peuvent afficher, o&ugrave; la musique semble coup&eacute;e dans une plaque de verre avec un laser, laissant une silhouette de son mince et us&eacute;. Beurk ! Apparemment, l’interpr&eacute;tation des derni&egrave;res sonates pour piano de Beethoven par Maurizio Pollini a caus&eacute; une querelle dans certains cercles classiques, mais je suis heureusement ignorant de telles choses car ma relation avec cette musique est celle de l’admiration et de l’&eacute;merveillement. Je suis un fan avou&eacute; des &oelig;uvres &laquo; tardives &raquo; en g&eacute;n&eacute;ral, avec les derniers quatuors &agrave; cordes de Beethoven, les derni&egrave;res sonates pour piano de Schubert, et les &oelig;uvres tardives de Chopin (&eacute;galement interpr&eacute;t&eacute;es par Pollini) parmi mes pr&eacute;f&eacute;r&eacute;es. Ici, nous avons de la pure magie et du d&eacute;lice, une d&eacute;monstration d’artisanat d&eacute;fiant la simplicit&eacute; des dix doigts. Parfois, j’aime penser &agrave; la diff&eacute;rence entre moi assis &agrave; un piano, non form&eacute; et mal pr&eacute;par&eacute;, et quelqu’un comme Pollini comme une repr&eacute;sentation du gouffre illimit&eacute; qui peut exister entre les gens et ce que nous faisons r&eacute;ellement. Ce que nous cr&eacute;ons, ce que nous produisons. Je trouve cette image &agrave; la fois humiliante et inspirante, comme si nos propres limites &eacute;taient d&eacute;finies davantage par la peur que par la capacit&eacute;. Quoi qu’il en soit, la musique pour piano solo comme celle-ci contient des univers de sons, de mouvements, et d’humeurs et le Mola Mola Kula a produit une reproduction inspir&eacute;e et homog&egrave;ne dans la grange avec cette &eacute;tincelle de qualit&eacute; de vie &agrave; laquelle je suis devenu accro. &Eacute;couter cette &oelig;uvre de plus de 2 heures ne peut que transporter hors du temps et du corps vers des lieux de pur d&eacute;lice. Puissance, gr&acirc;ce, corps, et finesse r&eacute;sonnaient dans la grange comme des esprits dansants en route vers des lieux inconnus et au-del&agrave;. Bravo !</p>
<h3>La diff&eacute;rence entre vinyles et fichiers num&eacute;riques</h3>
<p>&Eacute;couter des disques est diff&eacute;rent d’&eacute;couter des fichiers, et discuter de lequel est meilleur a moins de sens que de discuter du jour contre la nuit. Ils sont, de nombreuses mani&egrave;res, des exp&eacute;riences diff&eacute;rentes bien qu’elles partagent l’objectif commun de reproduire de la musique, id&eacute;alement d’une mani&egrave;re qui nous connecte directement et compl&egrave;tement. Ou pour le dire autrement, j’appr&eacute;cie les deux. J’ai ouvert le LP de Kali Malone, _Living Torch_, pour un tour sur la Michell Gyro SE arborant la classique cartouche Ortofon 2M Black pour voir comment l’&eacute;tage phono optionnel du Kula, je pourrais argumenter ce point, g&eacute;rait le vinyle. Il y a longtemps, lorsque je pr&ecirc;tais attention &agrave; de telles choses, appelons cela ma p&eacute;riode de martyr HiFi, j’ai lu toutes sortes de raisons pour lesquelles le vinyle est mauvais en tant que support de lecture musicale. Et la conclusion la plus gentille que je peux tirer sur les partisans de cette position sugg&egrave;re que ces personnes ne faisaient pas les choses correctement. D’autres explications n&eacute;cessitaient n&eacute;cessairement une connaissance de la psychiatrie, une autre chose qui me manque, donc je ne vais pas m’emb&ecirc;ter &agrave; deviner la cause de l’erreur de leurs voies. Dans les notes de pochette : &gt; &laquo; ‘Living Torch’ a &eacute;t&eacute; compos&eacute; &agrave; Paris entre 2020 et 2021 et jou&eacute; au trombone, &agrave; la clarinette basse, sur des g&eacute;n&eacute;rateurs d’ondes sinuso&iuml;dales, le propre synth&eacute;tiseur modulaire ARP 2500 d’&Eacute;liane Radigue (!), et la Bo&icirc;te &agrave; bourdons (la bo&icirc;te &agrave; bourdon), un instrument drone motoris&eacute; sur mesure inspir&eacute; de la vielle &agrave; roue et de la bo&icirc;te shruti indienne. &raquo; C’est une musique minimaliste, &agrave; mouvement lent qui repose sur des changements subtils de timing et de timbre pour cr&eacute;er un &eacute;tat m&eacute;ditatif chez l’auditeur, un ralentissement des sens qui intensifie la conscience. Elle dessine &eacute;galement une image sonore de taille cath&eacute;drale et le Mola Mola Kula s’est r&eacute;v&eacute;l&eacute; &ecirc;tre un dessinateur expert, avec une &eacute;gale comp&eacute;tence dans le d&eacute;tail fin et les coups de structure monumentaux. Le ton, la pr&eacute;sence, le corps, et la vitesse semblable &agrave; celle d’un colibri se sont unis pour recr&eacute;er cette musique dans sa pleine forme dans la grange. Pour des raisons largement inconnues de moi, je pr&eacute;f&egrave;re &eacute;couter du blues traditionnel sur vinyle au point que je l’&eacute;coute rarement sous forme num&eacute;rique. Peut-&ecirc;tre qu’une des raisons est que j’&eacute;coute des disques comme _The Great Blues Men_ depuis plus de 50 ans et que les disques, leur pr&eacute;sence physique, peuvent agir comme des panneaux indicateurs, des marqueurs d&eacute;finissant o&ugrave; nous avons &eacute;t&eacute;, o&ugrave; nous sommes, et tout cet espace entre les deux. J’ai achet&eacute; _The Great Blues Men_ dans les ann&eacute;es 1970, peu apr&egrave;s sa sortie, parce que j’avais lu que Jimi Hendrix avait &eacute;t&eacute; influenc&eacute; par le blues. Une merveilleuse collection d’artistes et de chansons, _The Great Blues Men_ a &eacute;t&eacute; le d&eacute;but de mon &eacute;ducation dans le blues et &eacute;couter ce disque aujourd’hui me ram&egrave;ne &agrave; un moi jeune assis dans ma chambre en essayant de jouer avec ma Guild Madeira. Bien que cela semble simple, cette musique vit et meurt dans le timing&mdash;sur, dans, et autour du rythme&mdash;avec le ton, la texture, et l’inflexion o&ugrave; la moindre h&eacute;sitation ou saut cr&eacute;e tension et rel&acirc;chement. &Agrave; peu pr&egrave;s &agrave; la m&ecirc;me &eacute;poque, j’ai eu le grand plaisir de voir Muddy Waters en direct, un set solo avec lui assis sur un tabouret en premi&egrave;re partie d’Eric Clapton. Alors que Muddy Waters semblait &ecirc;tre une force de la nature, Eric et son groupe sonnaient comme des jouets de musique que vous trouveriez dans une bo&icirc;te de c&eacute;r&eacute;ales. Le Mola Mola Kula jouant &agrave; travers les DeVores a pr&eacute;sent&eacute; des mondes de diff&eacute;rence entre John Lee Hooker, le R&eacute;v&eacute;rend Gary Davis, Mississippi John Hurt, Fred McDowell, et Robert Pete Williams, pour n’en nommer que quelques-uns de cette belle collection, chacun avec sa voix, son style, et son caract&egrave;re distincts en pleine exposition. Bien que je sois s&ucirc;r que vous pouvez acheter un &eacute;tage phono externe qui surpassera celui du Kula, je ne vois aucune raison d’aller dans cette direction ici, toutes choses consid&eacute;r&eacute;es. La beaut&eacute; de la simplicit&eacute; est la compl&eacute;tude, entre autres choses, et nous permettre de sortir du train des &laquo; et si &raquo; d’am&eacute;liorations sans fin est une r&eacute;compense qui remplace l’anxi&eacute;t&eacute; par le plaisir de la musique.</p>
<h3>Vivre l’instant pr&eacute;sent</h3>
<p>Alors que nous y sommes, je sais que certaines personnes d&eacute;conseillent les amplificateurs int&eacute;gr&eacute;s avec streaming par crainte de manquer un futur num&eacute;rique… chose. Vous savez, m&ecirc;me si vous aimez, aimez, aimez ce que vous entendez de votre HiFi, vous devriez remplacer cette joie par l’inqui&eacute;tude qu’un jour, d’une mani&egrave;re ou d’une autre, un num&eacute;rique _chose_ puisse vous faire regretter tout ce plaisir. Ou quelque chose dans ce genre. Je ne suis pas un partisan de cette fa&ccedil;on de penser et pr&eacute;f&egrave;re vivre dans l’instant, et en profiter pleinement. La chose &agrave; propos des moments, c’est qu’ils ne durent pas &eacute;ternellement et nous ne savons jamais quand les n&ocirc;tres prendront fin. S’il n’est pas douloureusement clair, j’adore l’amplificateur int&eacute;gr&eacute; Mola Mola Kula pour sa fa&ccedil;on de traiter la musique provenant de sources num&eacute;riques et analogiques. Il offre une exp&eacute;rience compl&egrave;tement satisfaisante et enti&egrave;rement engageante sans aucune r&eacute;serve, le tout envelopp&eacute; dans un emballage &eacute;l&eacute;gamment attrayant qui transcende presque la fonction. Je recommande de tout c&oelig;ur le Mola Mola Kula &agrave; quiconque &agrave; la recherche de pur plaisir pour les oreilles, les yeux, le c&oelig;ur et l’esprit et je le vois facilement former la base d’un syst&egrave;me dernier et tr&egrave;s aim&eacute;.</p>

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