Mola-Mola

MOLA-MOLA s’impose un objectif ambitieux, toujours le même, inlassablement : reproduire la musique telle qu’elle est enregistrée par les artistes. Ce n’est évidemment pas la seule société à avancer ce type d’arguments mais elle fait partie des rares acteurs à se donner véritablement les moyens de parvenir à ce résultat : tous les circuits et sous-circuits électroniques sont analysés de manière scientifique pour supprimer tout ce qui n’est pas la musique elle-même et de s’affranchir de tout écart du signal par rapport à l’œuvre originale. Ensuite, à chaque étape, lors de chaque itération, l’équipe MOLA-MOLA écoute des albums de référence pour déceler les sources d’éventuelle coloration. Une fois que tous les composants aient été analysés de la sorte, ils sont alors réunis et le produit global subit les mêmes tests dans sa globalité. Ce n’est alors, qu’une fois qu’il est devenu impossible d’entendre une différence entre le signal d’entrée et le signal de sortie que le produit est proposé à la vente afin qu’il apporte un son naturel, agile et riche, pour une musique tout à fait passionnante. Fruit de la collaboration entre Bruno PUTZEYS et Jan-Peter Van AMERONGEN (Hypex), les produits MOLA-MOLA marquent un tournant dans la Hi-Fi. La société néerlandaise propose le MOLA-MOLA Tambaqui, reconnu comme l’un de tout meilleur DAC du marché mais également le MOLA-MOLA Kula, un intégré en classe D disposant en option de la carte DAC du Tambaqui et d’un étage phono, le MOLA-MOLA Makua, un préampli lui aussi capable d’embarquer la carte DAC et une carte phono et enfin les MOLA-MOLA Kaluga, des amplificateurs mono en classe D qui ont fait écrire à de nombreux audiophiles que les préjugés sur cette technologies par rapport à la classe A ou la classe AB devraient rapidement disparaitre.